- Une négociation sera ouverte sur la question des temps partiels et des contrats courts dans le cadre de l’article L1 du Code du travail.
- L’Index égalité salariale sera revu dans un délai de 18 mois, en lien avec la transposition de la directive sur la transparence salariale arrachée par les syndicats au niveau européen. Encore une fois, les femmes devront être patientes…
- Une très timide pression est mise aux branches ayant des minima inférieurs au Smic avec la menace, d’ici à juin 2024, d’une remise en cause d’une toute petite partie de leurs exonérations de cotisations sociales.
- Un Haut Conseil aux rémunérations sera créé. La CGT demande que sa composition garantisse une vraie pluralité et indépendance et qu’il se substitue au comité des experts du SMIC.
La montagne a presque accouché d'une souris ! Les mesures annoncées ne sont pas à la hauteur de la crise sociale et économique.
La CGT appelle les salarié.es à continuer de se mobiliser pour obtenir l’ouverture de négociations salariales à tous les niveaux.
La CGT appelle les salarié.es à continuer de se syndiquer en nombre, à voter et faire voter CGT pour faire entendre leurs exigences !
- L’annonce d’un acte 2 des fusions de branche par le Gouvernement sans aucune garantie pour les droits des salarié.es ;
- L’annonce d’une réforme du congé parental sans aucune garantie à ce stade que cela ne se traduise pas, à l’image de ce qui s’est passé en 2014, par un recul pour les droits des femmes.